Travailler en semaine, c’est tellement pesant. Le temps libre que tu avais durant l’université est désormais très loin. C’est ce que je regrette un peu. Pour que tu puisses mieux comprendre, j’ai réalisé un stage d’avril à août, soit pendant 5 mois. Et j’ai fait ça malgré mon véritable souhait. Je ne voulais que 3 mois, mais pour que ça passe mieux sur le CV, j’en ai fait 5. Et si le maximum que j’aurais du faire serait de 6 mois, et bien j’aurais fait 6 mois. Il fallait que mon CV soit en béton. Surtout que là, je suis en Master 2, et qu’à part le fait qu’il me reste encore un stage à réaliser, c’est également ma dernière année.
Quoi qu’il en soit, les lundis soirs étaient pesants, parce que tu te dis que ce n’est que la fin de la première journée de la semaine. Tu sais qu’il te reste encore 4 jours derrière. Et le pire, c’est quand, dès le départ, tu sais que ça va être comme ça durant 5 mois. Au départ, les lundis soirs sont pesants. Je ne vais pas te raconter comment ça se passe le lundi matin. Oui, le réveil est un peu dur quand il s’agit de ta première journée.
Mais le soir, une fois que tu es rentré chez toi, tu es exténué. C’est une fatigue morale, dans le sens où tu sais que ce n’est pas la dernière fois que tu finiras la journée de cette manière. Attention, le stage s’est très bien passé, le souci n’est pas là. Disons que je suis une personne contre le salariat, dans le sens où dans ce genre de métier, tu devrais pouvoir partir dès que ton travail est terminé.
Du coup, je ne faisais rien le lundi soir. Aucune force pour écrire des articles, sachant qu’avant le stage je pouvais écrire des articles quand je le souhaitais. Le matin comme l’après-midi comme en pleine nuit. Mais passons, parce que ce n’est pas la seule chose que je ne souhaitais plus faire.
En effet, le lundi soir ne me parlez pas de faire du sport comme la musculation ou le cardio. J’étais exténué, c’était de la fatigue morale certes mais qui devenait physique, au final. Il y avait même des lundis où je dormais dès 19h. Mais par conséquent, je me levais le lendemain vers 6h. Oui, je dormais beaucoup en décalé.
Maintenant, je ne me pleins pas trop de mon stage car il m’a permis de réguler mon sommeil de nouveau. Je dormais à minuit pour me réveiller à 8h. Dans tous les cas, se forcer à se réveiller à 8h n’était pas une mauvaise chose si l’on me demande. Parfois, ça fait du bien de savoir que lorsqu’on doit se réveiller à une heure précise, on peut le faire.
Ca à l’air tout con dit comme ça, mais crois-moi que l’été dernier, je ne faisais rien de mes journées à part écrire des articles sur le site (et encore car avec la conne de l’été dernier, j’ai perdu un peu de motivation pendant une petite durée), sortir en soirée et voilà. Du coup, je dormais à 5h du matin pour me réveiller à 14h. Et le pire, c’est que même durant mes partiels en décembre, j’ai eu du mal à réguler mon sommeil. Super de ne pas dormir de la nuit, passer son examen puis dormir. Je sais pas comment j’ai eu 11, et encore je ne suis pas trop fier de cette moyenne. J’ai déjà eu mieux par le passé.
Donc c’est au moins ça, dans un autre article je parlerai de mon stage et de ses aspects, positif comme négatif. Ici, je voulais juste dire qu’après la première journée de travail de la semaine, c’est dur le lundi soir. En gros, je me plains quoi.