Sans rire, j’ai fait une soirée récemment au cours de cet été et j’ai compris que l’alcool, finalement, j’ai un peu de mal avec. Enfin, au fil du temps, mais surtout durant l’été qui vient de se terminer. J’étais en stage, donc en semaine soit je ne sortais pas, soit je sortais mais je ne restais pas tard.
Donc durant les soirées de la semaine, jamais je ne buvais. Le week-end, je ne le faisais qu’un jour. En effet, d’habitude je bois un soir sur deux au grand maximum, car je ne bois jamais deux soirées de suite. Surtout quand la veille je me suis mis une caisse… En effet, c’est le meilleur moyen de devenir accro à l’alcool.
Cette année, donc, j’étais en stage. Je n’avais que les deux derniers jours de la semaine pour me reposer. Je faisais une grosse soirée soit le vendredi soir, soit le samedi soir. Et un vendredi de l’été, une semaine après l’EMF d’ailleurs ; j’ai passé une soirée qui devait être légère de base. Mais une fois arrivé sur place, vers 23h, je ne me sentais pas dans la vibe de la soirée.
Mes amis, au moins une dizaine, ont pris une bouteille de Jagger d’un litre 50, un magnum comme on les appelle. A la fin de la soirée, 4 de ces bouteilles ont été consommé, au final… Oui, tu as bien lu. On a fait le chiffre du bar en une soirée. Pourtant, c’est un bar assez populaire.
Comme je n’étais pas dans l’ambiance de la soirée, je me suis dit qu’en participant à partir de la seconde bouteille, ça irait mieux. Et là, je ne sais pas pourquoi, je n’ai fait que des culs secs. Jamais je ne buvais mon verre de manière reposé. Ainsi, je ne comptais plus mes culs secs mais de manière systématique, j’en prenais. Devait y en avoir 9 dans le lot, et je n’exagère pas.
Même le lendemain, une fois réveillé, ça allait encore. Puis, une fois chez moi (en toute sécurité), je me sentais mal. Une envie de rien faire. Déjà, il faut savoir que je digère mal le Jagger. Et je dois me faire vomir car tout seul, ça ne vient pas. Du coup, je me sentais mal une bonne partie de la matinée. Puis, je me suis fait vomir vers 13h, mais malgré cela ça n’allait toujours pas.
Je voulais faire de la musuclation, mais l’envie n’était pas présente. Limite j’aurais pu dormir plusieurs heures à la place, mais malheureusement j’avais toujours mal. Le soir, autre soirée, un ami me propose de boire, je pose le verre à côté. Je me sers du coca juste et il me verse du whisky dedans. Si je ne veux pas, je ne veux pas merde.
En plus, c’était sa soirée annuelle de l’été. Autant quand il a commencé à en faire, c’était sympa car on s’entendait bien. Puis, au fil des années, c’était les mêmes invités mais entre temps, on s’est fait d’autres amis quoi. Ou sinon, ses potes à lui mais ce sont que des cassos qui, pour le coup, ne tiennent pas l’alcool du tout. Et il faut savoir que pour lui, c’est ce qui met l’ambiance de la soirée. Avec tout ça à prendre en compte, tu te doutes bien que je n’allais pas miser sur cette soirée du siècle.
Du coup, j’étais mal de la veille. En soi, tout ce que je voulais c’était dormir à ce moment-là. Mais bon, je voulais voir mon pote de base. Résultat, c’était une soirée de merde, je ne voulais pas partir en premier donc j’ai attendu qu’un autre personne part avant. Je n’aime pas dire ça, mais pour le coup on aurait dit une soirée de puceau. Ah et oui, je me sentais mal à cause de l’alcool. Au final, le dimanche ça allait mieux, si on part du principe que, de toute manière, je reprenais le boulot le lendemain.
Je pense que le fait que j’ai diminué ma consommation d’alcool, sans parler du fait que durant 2 mois de suite je n’y ai pas touché, ne serait-ce qu’une seule goûtte… Tout cela à fait que mon corps support de moins en moins l’alcool. Et honnêtement, ce n’est pas plus mal, car de toute manière, je souhaite à terme arrêter de consommer de l’alcool. Depuis, je prends des mojitos parce que j’aime toujours, mais ça s’arrête-là en tout cas.