Beaucoup ont testé le cannabis, la weed… Et vont peut-être le regretter. En effet, selon la quantité que tu as consommé, tu peux être exposé à des conséquences plus ou moins dramatiques. On va voir dans le cadre de cet article quelles peuvent être ces conséquences. Cela te permettra de voir si tu es plus ou moins foutu, par ailleurs…
Le cannabis annihile la motivation.
Ce n’est pas pour rien que les fumeurs raisonnables conseillent toujours de fumer après les taches importantes à réaliser. En effet, fumer donne envie de rien foutre, de « kiffer », devant un film, des vidéos ou en écoutant de la musique. C’est donc à ce titre l’ennemi de la productivité. Le cannabis rend objectivement faible, comme si on t’enlève ta testostérone.
Le cannabis nique la concentration.
Et oui, le cannabis favorise l’éparpillement intellectuel. Ça t’empêche d’aller au fond des choses, dû à la substance en elle même mais également au mode de vie de merde qu’elle conduit à adopter. Et oui, si tu prends l’habitude de consommer très vite des productions modernes (films, yt…) ça altère la capacité de ton cerveau à se poser sérieusement sur un seul sujet pendant longtemps.
Le cannabis bousille le sommeil.
Quand on fume quotidiennement, on ne rêve plus, ou en tout cas on ne se souvient plus de ses rêves. Ça peut sembler anodin mais faut se demander pourquoi C’est simple, un des effets du cannabis est de réduire considérablement la phase de sommeil paradoxal, phase pendant laquelle on rêve. D’ailleurs, personne ne peut nier que le pétard du soir fait que tu ne peux pas te réveiller totalement frais. L’altération de la phase paradoxale du sommeil n’aura que des effets négatifs sur le long terme.
Le cannabis flingue la mémoire.
Le cannabis détruit la mémoire à court terme. Tout ce qu’on voit/lit/écoute sous cannabis s’envole en grande partie. Quand on fume pendant des années, ces années sont presque perdues pour la mémoire.
L’accès à la mémoire est également atteint, ce qui peut être plus problématique. Tu n’arriveras plus à accéder aux informations pertinentes au bon moment. Par exemple, une conversation sur un sujet que tu aimes et maitrises, malheureusement ta contribution sera extrêmement réduite, tu ne pourras pas exploiter l’ensemble de tes connaissances.
Le cannabis tue la créativité.
On pourrait penser que le cannabis ouvre l’esprit. C’est vrai, au début, ça fait penser à des choses incroyables, mais ça disparait très vite. Très vite ça inhibe complètement l’imagination.
Si pendant la consommation, tu penses avoir l’impression de penser et d’imaginer, ça ne reste qu’une impression. Fais le test : écris un texte sous cannabis, et analyses le en étant sobre, tu constateras les limites des capacités en étant sous influence.
Pire encore, lorsque tu seras sobre, tu ne pourras plus imaginer et créer aussi bien que si tu ne fumais pas. En général, les fumeurs sont plus silencieux que les autres pendant les conversations, tout simplement parce que le cerveau est incapable de trouver quoi dire.
Le cannabis encrasse les poumons.
Cannabis = 7 fois plus de goudron que la clope. Il suffit de voir l’état du toncar, marroco ou filtre après avoir fumé un joint, cette substance jaune/marron, hyper collante et amère, voilà ce qui se retrouve en masse dans vos poumons quand vous fumez. Et je ne parle pas des conséquences désastreuses de la fumette sous toncar qui fait aspirer des micro particules par milliers.
Le cannabis met sur les nerfs
Oubliez vite l’image de Bob Marley, qui n’a été qu’une campagne de publicité géante pour le cannabis. Ca t’empêche de réagir correctement aux sollicitations sociales. Ça pousse à l’enfermement sur soi même, on n’a besoin que de sa dose, rien de plus et surement pas des autres êtres humains.