Qui a dit que la médecine, c’était simple ? Histoire d’enfoncer un clou qui est déjà assez enfoncé (du coup il passera de l’autre côté), je vais vous parler de 5 comportements qu’adopte une personne en fac de médecine (à défaut d’être dans une école de médecine car monsieur sait déjà à l’avance que s’il avait postulé pour faire une école, il aurait été relacé d’office)
La médecine, en première année, c’est quoi ? Deux concours, un en décembre et un en avril (si je ne me trompe pas, sinon au pire je corrige). Dans le premier concours, vous êtes au moins 2000 par université (et je ne parle pas des universités qui regroupent plusieurs villes…) et dans le second beaucoup moins car certains ont compris leur vrai niveau. Seuls 200 à 300 personnes sont accepté pour la seconde année (il avoir plus de 19 de moyenne… ah c’est bête, contrairement au bac c’est pas donné !)
Bon, quels comportements adoptent les (non) futurs médecins ?
Le stress, l’angoisse
Tu m’étonnes, quand vous êtes 2000, et qu’il n’y a que 10% des places de disponible, tu stresses ! Mais dans un sens, tu sais à quoi tu t’attendais, non ?
La compétition
Et oui, comme il n’y a peu de places, vous êtes tous en compétition. Même avec tes amis. Tu verras, tu en perdras par la suite. Mais ça ce n’est pas grave : Un de perdu, 10 de retrouvés. Sauf en médecine car tu n’as pas le temps de te faire des amis. Sauf en seconde année…
Les coups bâtards
Certains sont vraiment prêt à tout, et si le travail ne suffit pas, éliminer ses concurrents peut être une idée… à tester, certains le font en tout cas, mais est ce raisonnable ? « M’en fous, tant que je passe de la 807 à la 806 place !
Le « trop de travail »
C’est indéniable, pour réussir, faut travailler. En médecine, c’est la seule activité de ta vie, avec manger et dormir. Et ne penses pas que tu peux tout remettre à demain, le concours, tu ne peux pas le remettre à demain
La déception
Souvent, en tout cas. Après le concours, les résultats, et vu le pourcentage de réussite, il y a plus de chance que tu sois déçu que content. Mais t’en fais pas, tu peux redoubler, au pire… et revivre intégralement le stress
Bonus : Les redoublants
Ces derniers pénalisent les tout frais en foutant le bordel et en faisant en sorte que les profs partent de la salle. C’est assez mesquin mais au moins l’intention est clair !
Alors… tu veux toujours être un médecin ?